Le donne raccontano
V Liceo Linguistico
I N D I C E
1 INTRODUZIONE pag. 7
- Partecipazione della donna alla letteratura dalle origini ai giorni nostri.
2 TRA FIABA E REALTÁ pag. 8
- Sogni ed ideali sono importanti, ma la sopraffazione dell’uomo ha portato spesso le autrici a denunciare la loro condizione sottomessa.
2.1 FIABA: Mme DE LA FAYETTE (1634-1693) pag. 8
- la vita
- romanzo “La princesse de Clèves”: riassunto e commento
2.2 IMMAGINAZIONE: LOUISE LABÉ (1524?-1565?) pag. 10
- la vita
- sonetto “Une femme ose parler d’un amour total”
- riassunto e commento
2.3 IMMAGINAZIONE: Mlle DE SCUDÉRY (1607-1701) pag. 11
- la vita
- romanzo “Clelie, histoire romaine”: riassunto e commento
2.4 REALTÀ: ILSE AICHINGHER (1921) pag. 13
- la vita
- brano “Das Fenster Theater”: riassunto ed analisi
2.5 REALTA’: DACIA MARAINI (1936) pag. 15
- la vita
- romanzo “Marianna Ucria”: riassunto e messaggio dell’autrice
- racconto “Orlov”: riassunto e messaggio dell’autrice
3 AUTOBIOGRAFIE ED ESPERIENZE DI VITA pag. 20
Alcune scrittrici hanno parlato del proprio rapporto con la società, altre si sono limitate a descrivere i problemi che essa comporta, senza entrare nello specifico della loro vita.
3.1 AUTOBIOGRAFIA: COLETTE (1873-1954) pag. 20
- la vita
- brano “Les amours des domestiques” (da “La maison de Claudine”): riassunto e commento
- brano “Le vieil enfant sauvage” (da “Sido”): riassunto e commento
3.2 ESPERIENZA DI VITA: VIRGINIA WOOLF (1882-1941) pag. 23
- la vita
- racconto “The legacy”: riassunto e messaggio dell’autrice
3.3 ESPERIENZA DI VITA:SUSANNA TAMARO (1957) pag. 25
- la vita
- racconto “Di nuovo lunedì”: riassunto e messaggio dell’autrice
4 STORIA CONTEMPORANEA pag. 29
Autrici tedesche si sono schierate contro il regime nazista, denunciando le dolorose conseguenze della guerra.
4.1 ANNA SEGHERS (1900-1983) pag. 29
- la vita
- brano “Zwei Denkmäler” (da “Deuschen Literatur der 60er Jahren”): riassunto ed analisi
4.2 NELLY SACHS (1891-1970) pag. 31
- la vita
- lirica “Chor der Geretteten”: riassunto ed analisi
5 PENSIERO FILOSOFICO pag. 34
La facoltà di pensare è stata riconosciuta alle donne solo nel XX secolo.
5.1 HANNAH ARENDT (1906-1975) pag. 34
- la vita
- brano “La dignità umana contro qualsiasi totalitarismo” (da “Lingua materna): riassunto e commento
- opera “Le origini del totalitarismo”: riassunto e commento
- opera “The human condition”: riassunto e commento
5.2 SIMONE WEIL (1909-1943) pag. 37
- la vita
- brano “Commento della fiaba Duke O’Norroway” (da “La Grecia e le intuizioni precristiane”): riassunto e commento
5.3 EDITH STEIN pag. 39
- la vita
- dialoghi tratti da “La settima stanza”: commento
6 LE DONNE “RACCONTATE” DAGLI UOMINI pag. 45
- I mondi dei due sessi interagiscono a tal punto che alcuni personaggi maschili si immedesimano in ruoli femminili.
6.1 DANIEL DEFOE (1660-1713) pag. 45
- la vita
- romanzo “Moll Flanders”: riassunto, rapporto con società, famiglia ed amore
6.2 SAMUEL RICHARDSON (1689-1761) pag. 50
- la vita
- romanzo “Clarissa”: riassunto, rapporto con società, famiglia ed amore
7 BIBLIOGRAFIA GENERALE pag. 54
Capitolo 1
La prima “donna che racconta” è la poetessa greca Saffo (VI sec. aC.). Dopo di lei poche sono le scrittrici fino al ‘700, secolo in cui il loro numero aumenta grazie ai dibattiti culturali aperti nei salotti aristocratici, che vedevano donne come dissertatrici.
Solo nel XIX secolo, nei paesi occidentali più sviluppati (Francia ed Inghilterra in particolare), fanno la loro comparsa le prime vere e proprie scrittrici.
Virginia Woolf, nota autrice inglese del ‘900 (Cfr. più avanti), dopo aver capito che la vita femminile era sempre stata ostacolata da vari fattori tra cui, non ultimo, quello dell’incarnare l’ideale di donna volta solo alla famiglia, proferì tali parole: “Per spiegare l’assoluta mancanza di brave scrittrici, ma anche di cattive scrittrici non riesco ad immaginare altro motivo se non l’esistenza di qualche freno imposto dall’esterno alle loro facoltà”.
Le donne del nostro secolo, attraverso la loro scrittura, divenuta strumento di maturazione e di riscatto sociale, testimoniano la loro esperienza e l’importanza della loro presenza nell’ambito letterario.
Abbiamo preso in considerazione brani di narrativa, in quanto questo è il genere più amato e sviluppato dalle autrici.
Attraverso racconti, romanzi o poesie, le donne hanno sempre raccontato qualcosa…
Capitolo 2
Molto spesso le donne si sono raccontate, hanno parlato dei loro sogni irrealizzabili e non compresi dalla società che, fino al secolo scorso, le considerava inferiori e, di conseguenza, i loro scritti, non degni di essere letti, avevano poca importanza. La memoria e l’introspezione sono il perno attorno a cui ruota tutto il racconto, che accenna solo raramente ai cicli biologici della vita femminile.
In alcuni di essi traspare una denuncia alla società maschilista nella quale queste donne vivono.
Rare sono le autrici che, nei secoli passati, si sono occupate di tali argomenti; tra esse troviamo le francesi M.me de la Fayette, Louise Labé e M.lle de Scudéry.
Maggiore è il loro numero nel nostro secolo e, a loro rappresentanza, abbiamo scelto la tedesca Ilse Aichinger e l’italiana Dacia Maraini.
2.1 Mme DE LA FAYETTE
Elle est née en 1634 et elle est morte en 1693.
Elle s’appelait Marie Madeleine Pioche de La Vergne et avait une origine noble.
Elle était une femme très belle et intelligente. En 1655 elle épouse le Conte de la Fayette, beaucoup plus âgé qu’elle.
Au début de leur mariage, elle le suit quand il doit s’occuper de l’administration de ses domaines en Auvergne. Ensuite elle se fixe à Paris.
Elle connaît la belle soeur du roi, Henriette d’Angleterre, et elles deviennent amies. Chez elle, elle connaît des personnes importantes: Mme De Sevigné, la Fontaine et la Rochefoucauld.
Sur leur conseil, elle commence à écrire,. mais elle ne signe pas ses oeuvres.
Son oeuvre maîtresse est “La princesse de Clèves”, qui a un succès immédiat, mais qui fait aussi scandale.
Elle meurt en 1693 après une période très difficile, due à la mort de la Rochefoucauld et de son mari, dans laquelle elle se dévoue entiérement à la vie religieuse.
LA PRINCESSE DE CLÈVES
Le prince de Clèves tombe amoureux de Mlle de Chartres, après l’avoir vue à la cour d’Henry II et obtient sa main. Mais elle fait la connaissance du duc de Nemours pendant un bal. Le prince est très jaloux et il finit pour mourir de chagrin. Le duc devient très pressant et la princesse de Clèves lui déclare son amour, mais lui dit aussi que son devoir ne lui permet pas de l’épouser. La femme se retire après dans un convent.
Le roman suscite une grande admiration; son chef d’oeuvre est un roman d’analyse et historique en même temps.
En fait, l’étude psychologique et l’observation de la société du 16iéme siècle, qui reflet celle de son temps, coexistent dans la même oeuvre. Comme une tragédie, le roman de Mme de La Fayette met en scène le conflit entre le devoir et l’amour.
La princesse de Clèves est un personnage cornélien autant que racinien: on reconnaît l’influence de Corneille lorsqu’elle soumet ses sentiments pour le duc à son devoir d’épouse; elle est racinienne dans sa passion fatale, dans son amour-malediction.
Mme de La Fayette se sert de ce roman pour dénoncer un monde corrompu, celui de la noblesse, dans lequel tout sentiment positif est étoffé et où il y a de nombreuses intrigues politiques et amoureuses auxquels les femmes doivent succomber en payant leurs fautes d’une façon douloureuse.
2.2 LOUISE LABÉ
Fille d’un riche marchand de Lyon originaire d’Italie, elle est née, peut-être, en 1524. Elle reçut une éducation moderne avec beaucoup d’influences italiennes; elle est une femme passionnée et cultivée qui très tôt mène une vie aventureuse. Elle a participé, habillée en homme, au siège de Perpignan, pour suivre son amant.
On l’appelle aussi la “Belle Cordière” parce qu’elle a marié un riche cordier.
Mais elle a aussi joué un grand rôle culturel à Lyon; en fait elle présidait un salon littéraire. Sa culture lui est restée imprimée dans l’âme: commençant à écrire des poèmes, elle reprend les auteurs italiens (surtout Petrarca).
Son testament date de 1565, mais on ne sait pas s’il correspond à l’année de sa mort.
Son oeuvre, que tout le monde a louée, est originale pour les changements qu’elle apporte dans la conception de l’amour: c’est l’homme qui devient objet érotique.
C’est donc la femme, avec sa sensibilité de regard, qui désire être aimée et qui lutte contre la société masculine où la femme est seulement un objet.
Son amour est un amour vrai, sincère, passionné et son amant n’est pas idéalisé.
Même si elle reprend la composition poétique qui caractérise le 16ième siècle, c’est à dire le sonnet, elle est considérée une femme très originale.
Elle fut l’un des premiers auteurs français, avec Marot, à utiliser la forme du sonnet, mais son style est très simple et personnel: celle qui dit “Je” est une femme et le motif de ses pleurs et ses espérances est un homme.
Son oeuvre poétique comprend trois élégies et vingt-trois sonnets.
UNE FEMME OSE PARLER D’UN AMOUR TOTAL
Dans ce sonnet, la Belle Cordière ne cherche pas à masquer ses sentiments amoureux sous l’allégorie et l’idéalisation.
Elle exprime ici, avec beaucoup de sincérité, le désir d’être aimée.
Le premier vers de ce sonnet exprime un désir ardent et passionné, c’est-à-dire celui de toujours vivre ensemble avec son homme.
Elle bien représente l’image de sa passion, la comparant à un lierre qui encercle l’arbre que même la mort ne pourrait séparer, avec une image qui représente la fidélité immortelle.
2.3 Madeleine de Scudéry (dite Mlle DE SCUDÉRY)
Née au Havre en 1607, elle vécut ses premières années dans l’ombre de son frère, célèbre écrivain de l’époque.
Ensuite elle s’établit à Paris où elle se distingua pour son esprit et sa culture; elle réunit dans son salon la bourgeoisie cultivé, en inaugurant les fameux Samedis de Sapho, fréquentés par la meilleure société de l’époque et bientôt devenus le centre du rayonnement de la mode de la préciosité.
Dans ses très longs romans, “Le Grand Cyrus” et " Clélie" (publies sous le nom de son frère), elle transféra dans un milieu oriental ou romain le goût de l’aventure sentimentale, des conversations raffinées, de l’analyse psychologique.
CLELIE, HISTOIRE ROMAINE
Madeleine s’imagine les romains et les étrusques en lutte et analyse tous leurs sentiments sous un profile psychologique. Mais le thème “romanesque” est seulement un alibi car les personnages dont elle parle sont ses contemporains. En fait sous les pseudonymes les plus différents elle a caché les hommes et les femmes de son entourage, nous permettant de mieux comprendre la société de son temps. Dans le premier livre on trouve la “carte de tendre” qui deviendra une référence obligée de toute la poétique amoureuse.
Dans ce roman et surtout dans le livre I, il y a une codification des comportements amoureux et donc c’est très important le vocabulaire. Madeleine exprime ses idées sur l’amour, qui ne peut pas vivre avec le mariage. C’est seulement le célibat qui permet d’apprécier l’amour. Donc la pensée de Madeleine de Scudéry est très moderne , en effet elle a été l’une des premières femmes qui ont parlé si librement de l’amour.
2.4 ILSE AICHINGER
Als Tochter jüdischer Mutter wurden Ilse und ihre Zwillingsschwester Helga 1921 in Wien geboren. Nach dem Anschluß Österreichs durch die deutschen Nationalsozialisten gelang es Helga, nach England zu emigrieren, während Ilse in Wien bei der geschiedenen Mutter blieb, das Auswanderungsvisum abgelehnt wurde, obwohl sie nicht deportiert wurde, weil jüdische Mütter halbjüdischer Kinder bis zu deren 21. Lebensjahr nicht deportiert werden durften. Verzweifelt mußte das junge Mädchen die Abtransportierung der Großmutter erleben und nach ihrem 21. Geburtstag die eigene Mutter verstecken. In diesen Jahren begann sie ihren ersten Roman “Die größere Hoffnung” zu schreiben.
Nach dem Krieg wurde Ilse Aichinger 1951 Mitglied der Gruppe 47, wo sie Günter Eich kennenlernte, den sie später heiratete. Sie wurde vor allem durch ihre Hörspiele (“Die Knöpfe”, “Besuch im Pfarrhaus” und “Auckland”) und Kurzgeschichten bekannt, obwohl sie auch Gedichte schrieb.
In ihren Erzählungen schildert sie die Situation des modernen Menschen, die Vernunftwidrigkeit seines Daseins und die Probleme der Kommunikation unter den Menschen. Sie konzentriert sich auf Augenblicke, manchmal auf einzelne Worte und Gesten, aus denen sich oft Konflikte oder paradoxe und absurde Situationen, fast im Stil Kafkas, ergeben.
Die Wirklichkeit ist eine Wirklichkeit, die grenzenlos und zeitlos, aber nicht unbedingt undeutlich oder ungenau dargestellt wird. Immer wieder werden in den Erzählungen Fragen gestellt. Die einzige Lösung ist das Schweigen, das aber wiederum eine Art Angst vor der Realität ist. Sie lebt heute in Frankfurt am Main.
DAS FENSTER THEATER
TEXTZUSAMMENFASSUNG
Eine Frau lehnte am Fenster und sah hinüber. Sie war sehr neugierig und wollte etwas Interessantes sehen. Aber es passierte nichts. Dann sah sie, daß der ihr gegenüber wohnende Alte den Licht angedreht hatte und er machte Gesten. Sie fragte sich, ob er sie meinte. Aber sie wußte es nicht. Dann trat der Mann ein und er kam in Hut und Mantel wieder. Er lächelte. Dann nahm er ein weißes Tuch und begann zu winken. Dann machte er viele Sonderbarkeiten: Er wehnte einen Schal aus dem Fenster, er warf den Hut mit einer heftigen Bewegung ab, er wand den Schal wie einen Turban um seinen Kopf, er kreutzte die Arme über der Brust, er kniff das linke Auge zu und er lächelte. Die Frau rief die Polizei an. Die Polizisten kamen. Sie waren abgesprungen und sie gingen zu dem Mann. Er stand mit dem Rücken zu ihnen gewandt noch immer am Fenster. Den Teppich, den er vom Boden genommen hatte, trug er um die Schultern. Da er schwerhörig war, wandte er sich auch nicht um. Dann sah die Frau, daß ein Kind in der Wohnung gegenüber mit ihm spieltete.
TEXTANALYSE
Die Frau und der Mann werden durch ihr Verhalten indirekt charakterisiert. Die Frau ist schüchtern und verstopfen, sie will, daß etwas.
- seltsames passiert, und als sie den Mann sah, rief sie die Polizei an, weil sie denkt, daß sie eine gefährliche Person entdeckt hat. Aber am Ende ist sie enttäuscht, weil der Mann nichts so Interessantes machte.
Am Anfang schien, daß der Mann verrückt war, weil er viele
- Sonderbarkeiten machte, aber am Ende verstehen wir, daß er mit einem Kind spielte, und so ist die Frau diejenige, die sich nicht ganz normal benommen hat.
2.5 DACIA MARAINI
Nata a Firenze nel 1936.
Nel 1990 vince il Premio Campiello con il romanzo “La lunga vita di Marianna Ucria”.
Autrice di noti romanzi, quali “A memoria”, “Mio marito”, “Memorie di una ladra”, “Storie di Piera”, inizia a fare teatro nel 1967, rappresentando “La famiglia normale”, “Il ricatto”, “Recitare” e “Venere”.
Nel 1969 fonda, insieme ad altri attori, il teatro di Centocelle, ove viene rappresentato il suo primo spettacolo femminista: “Manifesto del carcere”.
Con la cooperativa Teatroggi, per la regia di Bruno Cirino, realizza “Viva l’Italia”; al Festival teatrale di Venezia va in scena “La donna perfetta”.
Nel 1973, a Roma, fonda, con altre donne, Il Teatro della Maddalena, ove si recitano “Dialogo di una prostituta con un cliente” e “Suor Juana”.
Il Trastevere mette in scena “Don Juan”; la Compagnia del Politecnico altri testi, tra cui “I sogni di Clitennestra”, in prima a Prato nel gennaio 1980.
MARIANNA UCRIA
RIASSUNTO
Marianna viene al mondo in una famiglia temuta, rispettata e onorata, gli Ucria. É la più piccola di sette fratelli, graziosa, gentile ed intelligente, ma non sa parlare, né può sentire. Vive in un mondo fatto di libri e di studio, perché non può comunicare con gli altri, o, meglio, gli altri non vogliono comunicare con lei; Marianna per loro non può capire e non deve decidere nulla che la riguardi; è destinata al convento, ma, grazie alla “generosità” di uno zio settantenne che si offre di sposarla a soli 13 anni, il suo destino cambia e da bambina innocente diviene moglie e madre.
La sua infelicità sembra non interessare alla sua famiglia ed ella è sola, nonostante le numerose persone che la circondano.
L’unico familiare che le sta vicino è suo nonno, però un tragico incidente (viene pugnalato) porta via a Marianna anche il suo unico sostegno.
Marianna cresce cominciando a rifiutare quegli obblighi familiari e sociali che una donna deve rispettare. Ricomincia a studiare, aiutata da un precettore, che le insegna il linguaggio dei segni, attraverso i quali impara le lingue e la filosofia.
É lo studio di quest’ultima che apre gli occhi a Marianna, le fa cioè capire che la vita non è solo sottomissione ed obbedienza, ma anche libertà nelle scelte ed amore.
All’età di 24 anni, Marianna scopre il vero amore, quell’amore puro e sincero che fino ad allora non credeva potesse esistere. Il ragazzo di cui s’innamora è Saro, il fratello della sua domestica ed amica, che l’accompagna fin dai primi mesi del matrimonio. L’intensa relazione non può e non deve continuare, perché entrambi hanno una famiglia a cui pensare e le loro condizioni sociali sono così diverse da non lasciare altra soluzione.
In questa occasione la figura della sorella di Saro diviene un elemento fondamentale per la svolta significativa nella vita di Marianna.
La domestica, infatti, in un momento di follia, uccide la moglie e il figlio di Saro, così da farlo diventare nuovamente un uomo libero. Non sono spiegate in modo inequivocabile le ragioni di questo atto, ma la causa più plausibile è che abbia agito per devozione verso la sua Signora, che per amore aveva già sofferto tanto.
La conferma di quest’ultima ipotesi ci è data dal fatto che Marianna farà scagionare la sua serva, imprigionata in un orribile manicomio.
Alla morte del vecchio marito, Marianna viene a sapere una tremenda verità: non era muta alla nascita, ma lo è divenuta in seguito al trauma causatole dalla violenza subita, a soli otto anni, da parte del suo stesso zio-marito.
Lo spavento fu tale da farle perdere la memoria e da indurla ad estraniarsi in un mondo solo suo. Lo zio, “pentito”, l’aveva sposata per non farle perdere l’onore.
Solo alla morte del marito Marianna riuscirà a riconquistare tutta la sua dignità di donna.
L’AUTRICE RACCONTA…
Dacia Maraini racconta la vita di Marianna, mettendo in risalto la scarsa considerazione degli uomini nei riguardi delle donne.
Una donna dovrebbe solo fare figli ed obbedire al marito, o, comunque, ad una figura maschile: Marianna, infatti, dovette sposarsi per non contrariare suo nonno, unica figura maschile rimasta nella famiglia degli Ucria.
I figli dovevano essere maschi e una donna doveva continuare la procreazione fino a quando il maschio non arrivava. Anche Marianna ha avuto tre figlie, prima che il tanto atteso “erede” arrivasse.
Un altro elemento che la Maraini sottolinea in Marianna, mettendola a confronto con altre donne, è il fatto che essa non abbia mai accettato di dover essere sottomessa ad un uomo.
La nonna, la madre e le figlie sanno sottostare al comando di un uomo, ma lei, Marianna, no.
É, dunque, la forza di volontà e il coraggio di andare avanti, ciò che la scrittrice vuole “raccontare” e trasmette questo messaggio attraverso la vita di una donna pura e semplice, benchè “diversa”; è un po’ come se in Marianna fossero rappresentate le attese, i timori e le speranze di ogni donna.
L’amore non è, per Marianna, una vana parola, ma un sentimento reale, che l’accompagna nel suo lungo e tormentato cammino.
Lei non ha ricevuto affetto, ma, nonostante ciò, ha saputo donarlo e, quando ne ha avuto l’occasione, ha riconosciuto tutta la forza che questo sentimento può dare ad una vita.
Sotto certi aspetti si potrebbe considerare Marianna una vittima innocente; vittima di una società ignorante, di una famiglia fredda, distaccata e non preoccupata dei veri sentimenti; vittima, infine, dell’amore, che non avrebbe mai conosciuto se si fosse attenuta alle rigide consuetudini di una tradizione maschilista ed ottusa.
Ma non si creda che questo sia il messaggio della Maraini.
Marianna è un’eroina che, nonostante le sue limitazioni, non si è mai arresa, perché, in fondo, sa che la vita non riserva solo dolore e sofferenza e che, in fondo al buio, c’è sempre uno spiraglio di luce.
ORLOV
RIASSUNTO
Questo racconto è tratto da “Parole di donne”:
Il vecchio cavallo Orlov, dopo una bellissima carriera nel mondo del circo, è destinato al macello. É ormai troppo vecchio ed è diventato inutile per i suoi possessori. Ma è un cavallo fortunato: l’autrice, infatti, dopo averlo visto ed essersi affezionata a lui, lo prende con sé. Il legame tra i due si rafforza sempre di più, al punto di permettere il crearsi di un affetto molto intenso.
Orlov può ora trottare e galoppare libero nel prato che circonda la casa dell’autrice e si guadagna da vivere solo dando un po’ d’affetto alla donna.
Ma il lontano ricordo del circo riaffiora nei movimenti del cavallo, ancora aggraziati, come le circostanze del passato richiedevano.
L’AUTRICE RACCONTA…
Il legame tra uomo ed animale è antichissimo e, da sempre, è stato molto stretto; esso avvantaggia entrambi, poiché li arricchisce del loro rapporto. Nel racconto possiamo infatti leggere: “Fra me e lui è nato un grande affetto. Una intesa, non saprei come spiegarla. Qualcosa che ci avvicina e ci fa amici.”
Non sempre l’uomo riceve gioia dall’animale, come considera la stessa Maraini :"Gli animali domestici sono destinati a darci dei grandi dolori: se ne vanno prima di noi, sempre, lasciandoci orfani e soli. Scrivere di loro, per me, significa mettere in moto quel complicato e fragile meccanismo che è la memoria; perché l’inchiostro conservi quello che la carne tende a separare".
Ma la scrittrice non accenna a momenti di tristezza, se non a quelli che Orlov ha trascorso quando è stato strappato via, senza pietà, da altri cavalli ai quali era, forse, affezionato.
Viene infatti descritto il rapporto meraviglioso, che sottintende la fortuna del cavallo nel trovare una padrona che lo nutre, senza ricevere altro in cambio che gioia ed amicizia. É un’amicizia profonda ed il racconto vuole convincere chi non crede, che essa può esistere e non deve essere sottovalutata.
Capitolo 3
Molte donne maturate in un mondo in veloce trasformazione (nel periodo tra le due guerre) scrivono raccontando storie di vita vissuta, difficile, a volte interrotta a causa delle guerre, altre volte semplicemente rovinata da regole della società, che si sono opposte al loro volere. Molte altre raccontano della loro vita personale e dei ricordi della loro infanzia.
É il caso di scrittrici francesi come Colette, inglesi come Virginia Woolf ed italiane come Susanna Tamaro.
3.1 COLETTE
Sidonie-Gabrielle Colette est née en 1873 en Bourgogne, à St. Sauveur en Puisaye.
La figure la plus importante de son enfance heureuse a été sa mère, femme sensible et passionnée, qu’elle a tendrement aimée et immortalisée dans ses oeuvres sous le nom de Sido.
Très jeune, elle se marie avec un journaliste “très parisien”, qui l’introduit dans le Tout-Paris des lettres et des arts et qui signe, avec son nom d’artiste, Willy, le premier roman de sa femme “Claudine à l’école”.
Après le divorce, elle mène une vie agitée et scandaleuse; ensuite elle épouse le Baron Henri de Jouvenal, dont elle se séparera également et qui lui donnera une fille.
Femme libre, elle conduit une existence entre la scène, les conférences et les collaborations à divers journaux.
Elle se remarie une troisième fois et elle connaît finalement le succès et la gloire.
Elle meurt à Paris en 1954.
LES AMOURS DES DOMESTIQUES
“La maison de Claudine”, de laquelle nous avons pris en considération “Les amours des domestiques”, est une oeuvre vaste et variée. Le souvenir de la vie de campagne se mêlent aux méditations poétiques, les contes de l’enfance tendres et nostalgiques aux récits de la jalousie destructrice et de l’amour violent.
Dans sa série des “Claudine” (“Claudine à l’école”, “Claudine à Paris”, “Claudine en ménage”, “Claudine s’en va”), elle met en seine la vie d’une époque: “La Belle Epoque”, avec ses histoire un peu scabreuses à travers les aventures d’une jeune fille très indépendante.
Dans ces livres, Colette mêle ses souvenirs personnels à la fiction romanesque avec une grande maîtrise dans l’étude psychologique des moeurs.
Les femmes connaissent les chagrins de l’amour, de la jalousie, de la renonce.
Plus tard, elle écrit une oeuvre indépendante des autres “Claudine”: “La maison de Claudine”, qui est un ouvrage autobiographique dans lequel elle evoque son enfance, sa maison natale et ses parents, surtout sa mère, femme pleine de vie, et aimant les animaux, passionnée des livres et farouchement attachée à la liberté comme sa fille.
La nature aussi est l’une des protagonistes de ses romans: en fait elle peut être considérée un “Gardien nostalgique des valeurs de la terre”.
Dans le texte que nous avons pris en considération, “Les amours des domestiques”, Colette, à 13 ans, donne beaucoup d’attention aux domestiques, qui provoquent en lui une immense curiosité.
Dans ce texte on peut lire qu’une domestique est enceinte et les autres domestiques pensent qu’elle ne pourra plus travailler avec son gros ventre. Mais la mère de Colette refuse de l’abandonner sur la rue et décide de la faire travailler encore pour elle. La jeune Colette se demande si l’autre domestique se mariera, car elle est très heureuse et elle chante toujours. Colette espère de pouvoir participer aux noces de cette femme, mais elle a peur de le dire à sa mère car elle pourrait dire “non”. Mais à la fin sa mère, compréhensive, lui permettra d’y aller.
LE VIEIL ENFANT SAUVAGE
Dans ce texte, tiré de “Sido”, nous voyons que le frère de Colette est un homme de soixante-trois ans, qui, comme un sylphe, n’est attaché qu’au lieu natal, où il trouve la protection naturelle. Il vit de peu en meprisant les vêtements des hommes. C’est pour ça que l’auteur a choisi l’expression “sa modeste besoigne de scribe”. Cette occupation ne requiert que son corps et lui laisse l’esprit libre. Le mot “scribe” désigne un modeste employé aux écritures sans doute dans une administration. Cet homme a conservé le domaine mental d’un enfant libre et heureux. Il arrive tout mouillé par un “crepuscule ruisselant, il se nourrit de sucreries, ouvre la montre, le réveil”. En vértu des coûtumes de l’enfance, l’auteur ne pose aucune question à son frère, qui commence à parler avec de petites phrases courtes et vagues. “Là-bas” ne peut être que St.Sauveur, le pays de l’enfance. Ils parlent à demi-mots. Le frère a besoin d’expliquer la raison de sa visite. Il ne precise rien, mais l’imagination de l’auteur suscite l’image du pays. Peu à peu le dialogue s’etoffe parce que la soeur ne peut plus retenir sa curiosité et la manifeste par une serie de questions auxquelles le vieux sylphe répond avec une violence incisive. Les souvenirs se pressent chez la soeur, mais le frère veut être méthodique. Il était venu uniquement pour faire partie de l’immense et douloreuse déception d’avoir voulu confronter le souvenir. Les frères sont étroitement liés par une complicité née de leurs souvenirs d’enfance. Il suffit que l’un dise “là-bas” pour que l’autre saisisse, c’est pourquoi le frère doit seulement dire “le loquet de la grille” pour que Colette le voie et, quand il mime l’ouverture, c’est d’une seule voix qu’ils imitent son grincement.
3.2 VIRGINIA WOOLF
She was born in London in 1882 and she died in 1941. She was the daughter of an important Victorian critic and thinker, Sir Leslie Stephen.
When her father died, her house was used as meeting point of a group of avant-garde intellectuals: the Bloomsbury Group.
In 1912 she married Leonard, a political theorist and they founded the Hagar Press, which had an important role in Virginia’s career.
When her brother died, she suffered of a nervous breakdown that caused her to drawn herself.
Virginia Woolf is one of the first exponents of modernist fiction, who uses the “interior monologue” in her works. She desired to give us a subjective representation of reality and to penetrate the mechanism that governs our consciousness.
THE LEGACY
SUMMARY
Angela, Mr. Gilbert Clandor’s wife, has died: in stepping off a kerb, a car has killed her. Clandor is a rich and ambitious man and, even if his wife has gone, he thinks, his life must go on. He is very sad for his tragedy, but he doesn’t know the truth yet.
He didn’t know that his wife Angela was in love with another man and that this man wasn’t as rich as him.
He didn’t know the poor man had committed suicide for love, for Angela’s love and that his beloved wife had killed herself not to tell him everything.
Angela will tell him the truth after her death, by leaving him the Legacy, a diary in which she tells him everything.
THE AUTHOR WANTS TO TELL US…
Angela has a normal and happy life: she is rich, she is the wife of a respectable man and she can’t apparently desire anything else outside her marriage.
After her death, we can understand her life wasn’t really so positive, because she had to live being a sort of possession of her husband. Clandor was a man full of himself and he had been lived with the consciousness of being the only reason of happiness for his wife.
Virginia Woolf doesn’t tell us, but she lets us imagine it. Angela had chosen to escape from her “perfect” life and to live a second life in which she could be considered a real woman. She loved an ordinary man, because she needed to feel equal to him and not always less important. She wanted to do something of her own in her life and therefore she decided to help poor people; we guess that Virginia Woolf gave her this name to emphasise her mild temper and her sweet character.
The author describes a woman, who decided to change her life.
Love was important for her, but her moral attitude and week temper didn’t give her the courage to leave her husband and her quiet life.
Virginia Woolf makes a portrait of a woman who had to live a real life, with her husband and her common problems. She didn’t love this life, because her heart and her true personality were in love with another kind of existence. So she had another life which she effectively desired, but it had brought her to death too.
Richness wasn’t important, but love was, for a woman like Angela, something absolutely necessary to live.
The legacy is a “written evidence” because when Angela’s lover died, Angela’s life ends with him.
In the story, there are only two living persons Gilbert, the main character who considers himself “a very distinguished-looking man” and the “poor Sissy Miller, who is described by Gilbert as “scarcely distinguishable from any other women of her kind”.
Then there are the two lovers, whose ideas are always stifled by Gilbert’s presence, Angela being for him “the soul of candour” and the other man “one of those intellectuals”.
As life has been like this story: stifled by the presence of her husband, but we have to read beyond the words of this short story to understand the true meaning of it. Angela overcame her life to follow her only love.
Under many aspects, Angela resembles a lot to what we can consider a modern woman. In fact, she prefers following her feeling, her emotional state rather than accepting the strict rules of society.
In doing this, she seeks a sort of indipendence from her husband and from family patterns exactly as modern women have been doing all over this century.
3.3 SUSANNA TAMARO
Nasce nel 1957 a Trieste e lì si diploma al centro sperimentale di scenografia. Si trasferisce poi a Roma per lavorare alla RAI, ove realizza documentari sull’ambiente. Esordisce nel mondo della letteratura con il romanzo “La testa fra le nuvole” (1989), vincitore di alcuni premi letterari. Racconti appartenenti al libro “Per voce sola” vengono pubblicati nel 1991 e ricevono anch’essi un premio.
Il libro che l’ha resa nota è “Và dove ti porta il cuore”, romanzo di successo, contemporaneo (pubblicato nel 1994), che ritroviamo nell’elenco dei best-seller più amati del mondo.
Nel 1997 è stato pubblicato il suo romanzo più recente: “Anima mundi”.
DI NUOVO LUNEDÌ
RIASSUNTO
É un racconto tratto da “Per voce sola”, volto, come il resto del libro, a rendere note le sofferenze dei più deboli.
Dorrie è stata trovata vicino alla spazzatura quando aveva solo pochi giorni di vita. Adottata da una famiglia, ha la possibilità di condurre una vita felice, uguale a quella di tutti gli altri bambini. Nonostante l’amore e le cure che essa riceve dai suoi genitori adottivi, è eccessivamente magra. Dalle pagine del diario della madre, dal quale nasce questo racconto, apprendiamo che il deperimento della bambina è dovuto allo shock subito in seguito alla sua esperienza quand’era ancora in fasce. La madre, scrittrice di favole per bambini, nonché madre premurosa e comprensiva, adora Dorrie ed è contenta dell’ottimo rapporto instauratosi tra Jeff, suo marito e la piccola.
Egli, infatti, trascorre molto tempo in camera di Dorrie, la sera, prima di coricarsi, per tranquillizzarla (la bimba ha paura del buio).
La nuova favola per bambini racconterà la bellissima storia della figlia: questa è l’idea della madre, che, però, non sa trovare la fine. La cerca nel quaderno di Dorrie e, in esso, legge queste amare parole che le svelano una triste realtà: “Dicono che gli orchi non esistono più invece gli orchi esistono ancora. Il mio papà di giorno è un avvocato e di notte un orco. Quando dormo e ho paura che la porta si apra, mi stringo a Teddy. Teddy è il mio orsacchiotto, siamo amici da sempre. Lui sembra di stoffa e invece se io dico la parola giusta e lo bacio sul cuore lui diventa vivo e più forte di qualsiasi cosa. Ogni sera Teddy mi promette che se viene l’orco mi difenderà. Ogni mattina io gli prometto che quando saremo grandi scapperemo insieme. Andremo su e giù per i boschi a cercare le more più dolci e il miele dove intingere le zampe. Saremo felici, allora, come in tutte le storie che finiscono bene”.
L’AUTRICE RACCONTA…
“Quello è un uomo che chiamiamo mostro, per dire che è uno sbaglio della natura, ma come lui ce ne sono altri, e allora forse lo sbaglio è più complesso e sono in molti a commetterlo.[…] Vorrei dirti che c’è difesa da quelli come lui, ma sarebbe una bugia.[…] Non hai altra difesa che te stessa, sarai sempre sola di fronte al male e magari non ti basterai. Se vuoi salvarti, impara a guardarlo negli occhi e a riconoscerlo.[…] Tu vivrai, crescerai e camminerai lontano dalle trappole dei mostri, se guarderai sempre la strada, senza mai confidare in qualcuno che la renda sicura per te, perché nessuno ne è veramente capace."(La Stampa, 19/8/1996).
Il tema dell’adozione entra solo marginalmente nel testo, per lasciare posto al vero dramma della storia di Dorrie. Ci sono molti altri bambini nella sua situazione. Ce lo confermano le statistiche più recenti: molte persone vanno all’estero per soddisfare i propri bisogni sessuali (soprattutto nei paesi sottosviluppati), ma ancora di più rimangono entro le mura domestiche, trovando nei bambini una facile “preda”.
Purtroppo si sente spesso questo genere di storia (si vedano, ad esempio, gli omicidi di minori in Belgio, avvenuti dopo che un “mostro” aveva abusato di loro, in occasione dei quali è stato scritto l’articolo sopraccitato).
Troppe volte il “mostro” è la persona più insospettabile, colei che sembra la più vicina alla “vittima”, che desidera solo proteggerla.
Non si può, quindi, incolpare la madre adottiva di Dorrie, la quale non si era accorta di nulla, proprio per la sua ingenuità.
Anche la scuola non capisce il problema di fondo della piccola, forse per disattenzione o poco interesse, o semplicemente perché gli insegnanti erano convinti, come la madre, che il deperimento fisico fosse dovuto alla “tragedia” seguita alla sua nascita.
Capitolo 4
Agli inizi del 1900 si sviluppano in tutta Europa i totalitarismi. In Germania, in particolare, troviamo il nazismo, quello che avrà più potere ed otterrà maggior consenso. Questa è una delle cause della seconda guerra mondiale, inutile strage di un popolo innocente. Contro questa si schierano le scrittrici, soprattutto tedesche, che vivono questa esperienza in prima persona. É il caso di Anna Seghers e Nelly Sachs.
4.1 ANNA SEGHERS
Sie ist 1900 als Tochter eines jüdischen Kunsthändlers geboren und sie hat Geschichte, Philologie, Sinologie und Kunstgeschichte studiert.
Sie heißt Netty Reiling; ihr Pseudonym entnahm sie einem Zeitgenossen von Rembrandt. Nach der Ehe mit Laslo Radvanyi erhielt sie den Kleist-Preis und sie trat der kommunistische Partei Deutschlands sowie dem Bund Proletarisch-Revolutionärer Schriftsteller bei. 1933 mußte sie nach zeitweiliger Verhaftung emigrieren. 1947 kehrte sie nach Deutschland zurück und siedelte sich in Ost-Berlin an, wo sie sich in ihrem Schrifttum mit den Problemen des Aufbaus einer sozialistischen Gesellschaft und mit der Analyse der Grundlagen der reaktionären Kräften beschäftigte und sich gegen eine zu enge realistische Darstellungsweise in der Literatur stellte. Sie starb im Jahr 1983 in Ost-Berlin.
Bevorzugte Themen ihrer Romane und Erzählungen sind Ereignisse aus ihrem eigenen Leben: der Widerstand gegen den Nationalsozialismus, der Kampf für die Verfolgten und Unterdrückten, das Schicksal der Emigranten.
Ihre Werke lassen sich in drei verschiedener Schaffensperiode gliedern:
das Frühwerk (z.B. “Auf dem Weg zur amerikanischen Botschaft” und “Die Gefährten”, wo die politische und soziale Wirklichkeit Europas zum Hauptthema ihrer literarischen Tätigkeiten wird; sie bietet hinter der Darstellung verzweifelter Massenmenschen die Möglichkeit einer Alternative sozialen Struktur);
die literarischen Werke des Exils (z.B. “Die Rettung”, “Das siebte Kreuz” und “Die Toten bleiben jung”, wo das zentrale Thema nicht mehr nur der aktive Widerstand gegen den sich verbreitenden Faschismus ist, sondern die Notwendigkeit, im deutschen Volk die Überzeugung wachzuhalten, daß es trotz des perfekten Polizeiapparats möglich war, etwas zu tun, um der Wiedergeburt der Demokratie den Weg freizuhalten);
das Spätwerk (z.B.die Romane “Die Entscheidung” und “Das Vertrauen”) zeigen, wie das Private und das Politische im menschlichen Leben nicht zu trennen sind.
Nicht nur die Politik, sondern auch die Frauen sind oft zentraler Schwerpunkt in ihren Werken der Nachkriegszeit, so in “Crisanta”, “Vierzig Jahre der Margarete Wolf”, “Agathe Schweigert” und “Die drei Frauen aus Haiti”.
Vor allem im Spätwerk taucht das Problem der Funktion der Literatur noch einmal auf: die Verbindung von Schönem und Nützlichem, worüber sie sich schon in ihrem Briefwechsel mit dem Philosophen Adorno auseinandergesetzt hatte.
ZWEI DENKMÄLER
TEXTZUSAMMENFASSUNG
In der Emigration begann sie eine Erzählung und jetzt erinnerte sie sich nur an den Anfang. In Mainz gab es zwei Denkmäler, die sie niemals vergessen konnte. Eins ist der Dom auf Pfeilern gabaut. Dieser Dom über der Rheinebene wäre ihr in all seiner Macht und Größe im Gedächtnis geblieben, wenn sie ihn auch nie wiedergesehen hätte.
Aber sie kann sich an ein anderes Denkmaler erinnern. Es bestand nur aus einem flachen Stein. Das Stein wurde zum Gedächtnis einer Frau gesetzt, die Milch für ihr Kind holen wollte.
Man hat diese Stein gesetzt, um die Grausamheit und die Bosheit der ersten Weltkrieg zu erinnern.
Der Dom hat die Luftangriffe des zweiten Weltkriegs überstanden, auch wenn die Stadt zerstört worden ist.
TEXTANALYSE
In diesem Text gibt es eine Ich-Figur, die die Schriftstellerin darstellt. Nämlich handelt es sich um ein Stück Selbstbiographie. Anna Seghers erzählt von ihrer Kindheit, als sie Schulkind war. Sie lebte noch in Mainz am Rhein, wo die zwei Denkmäler sind.
Die Frau, die für ihr Kind Milch abholen will, aber durch Bombensplitter stirbt, stellt die Frau des jüdischen Weinhändlers dar.
In diesem Text verweist die Autorin auf die Barbarei des ersten Weltkriegs und zugleich auf die noch schlimmeren Grausamkeit des zweiten Weltkriegs.
4.2 NELLY SACHS
Jüdischer Herkunft wurde Nelly Sachs 1891 in Berlin geboren. Nelly Sachs ist nur ein Pseudonym von Leonie Sachs. Dank der Fürsprache Selma Lagerlöfs, die sie zum Schreiben angeregt hatte, bei schwedischen Hof, konnte Nelly Sachs nach Schweden emigrieren und lebte bis zu ihrem Tod in Stockholm.
Als Lyrikerin und Übersetzerin wurde sie erst 1974 bekannt. Später wurde sie mit etlichen Preisen ausgezeichnet. Nach einer Reise nach Zürich und Paris, wo sie sich mit Paul Celan traf, erlitt sie einen schweren psychischen Zusammenbruch.
Ihre Lyrik fügt sich in die Tradition der oft mystischen Psalmendichtung ein und nimmt mit der Zeit immer mehr metaphorische und hermetische Züge an.
Das Thema des Todes steht eigentlich im Mittelpunkt aller Gedichte der Sammlung “In der Wohnungen des Todes”. sie behandeln die Thematik des Holocausts, des Kindermorders und der gewaltsamen Aufhebung der Kindheit, des Wahnsinnes als Flucht aus einer unerträglichen Wirklichkeit, der Unmenschlichkeit des Menschen und der Zerstörung des Zeitsinns.
Ihre Hauptwerke sind die Gedichtbände “In den Wohnungen des Todes”, “Sternverdunkelung”, “Und niemand weiß weiter”, “Flucht und Verwandlung”; die Dramen wie z.B. “Der magische Tänzer” und die Übersetzungen wie z.B. “Von Welle und Granit. Querschnitt durch die schwedische Lyrik des 20. Jahrhunderts”.
CHOR DER GERETTETEN
“Die Geretteten” sind alle Juden, die trotz des Grausens von den Konzentrationslagern überlebt haben. Sie hielten sich schon für tot, konnten aber glücklicherweise dem Tod entfliehen.
Die Autorin verwendet ein lyrisches Bild. , um den Tod darzustellen: Der Tod wird als Flöten- und Geigenspieler angesehen. Sie verbindet aber diesen Begriff mit makaberen Bildern, wie zum Beispiel Zeile 2 “Aus dem hohlen Gebein der Tod schon seine Flöten schnitt” oder Zeile 5 “verstümmelten Musik” oder Zeile 9-10 " mit unserem tropfenden Blut”.
Die Angst und die Verzweiflung waren so groß, daß die Geretteten noch immer an nichts anderes denken können. Wir können das durch Zeile 4 “Unsere Leiber klagen noch nach”, oder Zeile 7 “Immer noch hängen die Schlingen für unsere Hälse gedreht”, oder auch den Zeile 11 “Immer noch essen an uns die Würmer der Angst” verstehen.
Es scheint, daß die Geretteten einen Kontakt zu den anderen Menschen gefunden haben: Sie drücken ihre Hände, sie schauen ihnen in die Augen. Aber das ist kein echter Kontakt, weil niemand wissen kann, was sicherlich passiert ist.
Capitolo 5
Il pensiero filosofico delle donne si è sviluppato in quest’ultimo secolo, in quanto nei precedenti le donne non potevano né studiare né esprimere le loro idee.
Prendiamo in considerazione le filosofe Hannah Arendt, Simone Weil ed Edith Stein.
Queste filosofe, cresciute durante il fascismo, in un periodo di chiusura sociale, politica e culturale, dovettero costruirsi in un clima di grande isolamento. Il loro emergere è fatto recente, ma si sono affermate a tal punto da dovere essere prese in considerazione per le loro grande volontà e la profondità del loro pensiero, difficile da esprimere e da far accettare in una società come quella fascista.
5.1 HANNAH ARENDT
Figlia di genitori ebrei, nata ad Hannover il 14 ottobre 1906 e morta a New York il 4 dicembre 1975, la Arendt frequenta l’università di Marburg, Freiburg in Breisgam e Heidelber e studia letteratura greca, teologia e filosofia. Tra i docenti troviamo Buttmann e Husserl. Con Jaspers presidente d’esame, si laurea nel 1928 discutendo una dissertazione su S. Agostino. Nel 1933 è costretta dal nazismo a fuggire a Parigi, dove viene a contatto con pensatori come Aron e Sartine. Partecipa ad un’organizzazione per far fuggire i bambini ebrei in Palestina, ma nel 1940 viene arrestata e internata al Velodrome d’Hiver. Scappa negli Stati Uniti e insegna in varie università, lasciando anche in America un influsso molto forte.
Tra le sue opere troviamo : “Lingua materna”, “El totalitarismo”, “The origins of totalitarism” (“Le origini del totalitarismo”) e “The human condition” (“Vita activa”).
Di “Lingua materna” prendiamo in considerazione “La dignità umana contro qualsiasi totalitarismo e razzismo”. In questo passo, la filosofa racconta le sue esperienze e gli eventi che l’hanno costretta a prendere una posizione politica. Aveva già dichiarato di non essersi occupata, in gioventù, di politica, ma di essersene interessata dal 1933, anno in cui aveva abbandonato al Germania, in seguito all’arresto da parte della Gestapo. In quel periodo aveva infatti capito che gli Ebrei non potevano più rimanere in Germania, in quanto considerati inferiori. Da bambina non si era mai sentita ebrea, perché in famiglia non gliene avevano fatto prendere coscienza; aveva tuttavia capito di essere diversa agli occhi dei suoi compagni. Ella non si sentiva inferiore, ma non riusciva nemmeno a sentirsi tedesca. I problemi riguardanti l’antisemitismo avevano condizionato molto la vita della sua famiglia. Se, in classe, un professore faceva commenti sugli ebrei, ella doveva uscire dalla classe e riferire l’accaduto a casa, per permettere a sua madre di scriverlo in una raccomandata. A casa sua esistevano perciò “regole di condotta”, essenziali per consentirle di proteggere la sua dignità.
Per comprendere la visione politica della Arendt, occorre far riferimento alla sua opera più nota: “Le origini del totalitarismo”.
Tale opera è divisa in tre parti: antisemitismo (non semplice odio contro gli ebrei), imperialismo (non semplice conquista) e totalitarismo (non semplice dittatura).
Questi movimenti privano l’uomo della propria dignità, che potrà essere ritrovata soltanto applicando una nuova forma politica. Innanzitutto bisogna prendere coscienza della situazione, senza esserne oppressi. Il totalitarismo è stato alla base del nazismo e della Seconda Guerra Mondiale, improntando la sua politica sull’idea della conquista del mondo. Il nazismo, con la convinzione che ogni stato potesse cadere sotto il suo dominio, inizia una politica mirata a far risaltare la propria potenza sugli altri popoli ed istituisce poi i campi di concentramento, in cui si sterminavano uomini senza fare distinzioni di sesso o di età: uno stato totalitario può esistere solo attraverso l’annullamento dell’individuo e delle sue libertà, applicando l’ideologia secondo la quale l’uomo è superfluo e può essere punito senza che abbia commesso un reato, può essere sfruttato anche senza ottenere un profitto e può essere obbligato a lavorare anche senza scopo produttivo. Secondo la Arendt, i regimi totalitari non sono altro che “un luogo dove quotidianamente si crea l’insensatezza”.
L’ultima opera che prendiamo in considerazione, “The human condition”, esprime l’odio della filosofa per le ideologie che riducono l’uomo ad oggetto.
Con l’espressione “Vita activa”, titolo di un’altra opera della Arendt, essa intende sintetizzare le tre attività fondamentali umane :
1. L’attività lavorativa che assicura la sopravvivenza dell’individuo e della specie.
2. L’operare, estraneo al normale ciclo vitale, che produce un ambiente non naturale.
3. L’azione , unica correlazione tra la pluralità degli uomini che vivono sulla terra.
Per cui azione è sinonimo di vita pubblica, che, come pensavano i latini, non è altro che attività politica; l ‘azione è anche la nascita di qualcosa di nuovo, come la passione amorosa, che, al contrario della politica, esiste solo nell’ambito personale e non in quello pubblico. La filosofa sostiene, infine, che la verità non deriva da un’introspezione o dall’interpretazione della vita privata, ma da ciò che viene messo in luce dalle relazioni interpersonali.
5.2 SIMONE WEIL
Nata a Parigi il 3 febbraio 1909 e morta ad Ashford il 24 agosto 1943. Di padre ebreo e madre di origini russe, Simone Weil vive i primi anni della sua vita in un clima di agnosticismo. Nel 1931 ottiene il titolo di agrégée in filosofia all’École Normale Superieur. Fondamentalmente antireligiosa, Simone entra in contatto, durante gli anni di studio, con il movimento sindacalista, con le idee della rivoluzione proletaria e con il Cristianesimo. Per condividere la situazione dei più poveri decide di lavorare come operaia. Aiuta anche i repubblicani durante la guerra civile spagnola. Viene considerata insana di mente quando, in seguito all’accusa di gollismo, rischia la prigione e si dimostra felice di entrarvi. Fugge con i genitori in America a causa della seconda guerra mondiale, ma torna presto a Londra per combattere a fianco della resistenza francese. Si ammala e muore al sanatorio di Ashford. Tra le sue opere (tutte pubblicate post mortem) troviamo “La Grecia e le intuizioni precristiane”.
In quest’opera, la Weil commenta la fiaba scozzese: DUKE O’NORROWAY (Duca di Norvegia), nella quale si racconta di un principe, il “duke o’Norroway”, che ha, di giorno, forma animale e, di notte, forma umana. La principessa che lo sposa, stanca di questa situazione, una notte decide di distruggere la spoglia animale di suo marito. Egli scompare e lei dovrà cercarlo. Cammina senza fine per boschi e per valli. Nel corso del suo vagabondaggio incontra una vecchia che le fa dono di tre nocciole meravigliose perché se ne serva in caso di bisogno. Essa vaga ancora a lungo. Trova, infine, un palazzo, dove si trova il principe suo sposo, sotto la sua forma umana. Ma egli l’ha dimenticata e sta per sposare un’altra donna. La principessa, dopo il suo interminabile viaggio, é in uno stato miserando, coperta di stracci. Entra nel palazzo come sguattera. Spacca una delle nocciole e, con immensa sorpresa, vi trova un abito meraviglioso. Offre quest’abito alla futura moglie di suo marito, in cambio del privilegio di passare una notte intera con lui. La fidanzata esita, poi, tentata dalla veste, accetta, ma fa bere al principe un narcotico che lo tiene addormentato tutta la notte. Mentre egli dorme, la sguattera é al suo fianco e canta senza posa: “Far hae I sought ye, near am I brought to ye;/Dear Duke o’Norroway, will ye return an speak to me?” (Lontano t’ho cercato, fui condotta accanto a te, /Caro duca di Norvegia, vuoi voltarti e parlare con me?). Ella canta ancora “till her heart was like to break, and over again like to break” (così a lungo che il suo cuore fu vicino a spezzarsi e ancora vicino a spezzarsi). Egli non si sveglia e, all’alba, ella deve lasciarlo. Tutto questo si ripete una seconda notte, poi una terza. Allora, appena prima dell’alba, il principe si sveglia, riconosce la sua sposa e caccia l’altra.
Dal commento alla fiaba, possiamo capire la concezione di Simone Weil riguardo al Cristianesimo e riguardo Dio: “Dio cerca l’uomo con pena e fatica e arriva a lui come mendicante”. Il nostro Dio, creandoci, si é auto limitato, togliendosi la perfezione; Egli ci ha donato l’esistenza e ora viene da noi a mendicarla. Se Dio non si rivelasse a noi, per la nostra anima sarebbe impossibile conoscerlo. Dio si mostra agli umili, ai poveri, ai sofferenti, a tutti coloro che sono disposti a sacrificare a Lui la propria esistenza, come Egli ha fatto con noi. In seguito all’esperienza da lei vissuta in un paesino portoghese, la Weil può affermare che il Cristianesimo é la religione degli umili, degli oppressi e degli schiavi. Qui assistette, infatti, ad una processione il giorno della festa del patrono e udì i tristi canti delle donne. Da quella straziante tristezza, capì che Cristo è vicino agli schiavi, che si mostra a loro ed essi non possono non riconoscerlo; lei stessa, sentendosi una schiava, avvertì la vicinanza di Cristo. Dio ci segue ovunque (come la sguattera che insegue l’amore lontano), per permetterci di accorgerci di Lui. Ci mostra in molti modi la sua presenza, suscitando amore o compassione tra due persone; se, infatti, l’uomo fosse solo, sarebbe impossibile per lui provare questi sentimenti. Dio però non si mostra a noi “in eterno”, ma ci dà, secondo la Weil, delle possibilità: sta a noi “svegliarci” in tempo (come il principe), prima che il tempo a nostra disposizione finisca. Fino a che non ci accorgiamo della Sua presenza, non troviamo scopi nella nostra vita e non siamo in grado di provare il senso della sofferenza; la nostra vita non ha luce e , in questo modo, sentiamo l’assenza di Dio e viviamo infelici, senza meta. Per riavvicinarci a Dio, dobbiamo seguire il Suo esempio, consistente nel negare la propria esistenza. Tutti, prima di conoscere Dio, dormiamo un sonno “drogato”. Simone Weil si sveglia da esso e recita la poesia “Amore” di Herbert. La Wel conferma: “Credevo di recitarla soltanto come una bella poesia mentre, a mia insaputa, quella recitazione aveva la virtù di una preghiera. Fu proprio mentre la stavo recitando che Cristo […] è disceso e mi ha presa”.
La Weil ci assicura che il contatto con Dio è reale. La sua forza è tale che Dio è disposto a morire per noi.
5.3 EDITH STEIN
Nata a Breslavia il 12-10-1891 e morta ad Auschwitz il 9-8-1942.
I genitori erano ebrei; Edith Stein frequenta, nella sua città natale, le facoltà di psicologia e germanistica. Mentre segue i corsi di fenomenologia tedesca tenuti da Edmund Husserl, supera l’esame per l’insegnamento di storia, tedesco e propedeutica filosofica; nello stesso tempo presta volontariato come crocerossina. Diventa assistente dello stimato maestro Husserl, seguendolo da Gottinga a Friburgo. Come dissertazione per il dottorato, la Stein discute, nel 1916, “Il problema dell’empatia”. Il primo gennaio 1922 si fa battezzare. Insegna in vari istituti prima che i nazisti le proibiscano di esercitare questa professione. E’ questo l’episodio che la spinge a diventare suora di clausura. La vestizione avviene il 15 aprile 1934 nel Carmelo di Colonia ed Edith prende il nome di Theresia Benedicta a Cruce. Husserl stesso riconosce la straordinarietà della Stein, capace di scoprire “la chiarezza e l’ampiezza dell’orizzonte” e, contemporaneamente, di “rivolgersi verso l’interno e conservare la prospettiva del proprio io …”. Nel 1938, a causa delle persecuzioni naziste, si rifugia in Olanda, nel Carmelo di Echt. Tra il 1941 e il 1942 lavora alla Kreuzeswissenschaft (la scienza della croce). Il 2 agosto è arrestata dagli ufficiali della GESTAPO. E’ dapprima internata nel campo di Drente-Westerbork e poi deportata, con la sorella Rosa, nel lager di Auschwitz. Questa terribile esperienza le permette di imparare molte cose; è ella stessa a raccontarlo in un messaggio per la superiora del Carmelo di Echt:
“Cara madre, […] si può acquistare una “scientia crucis” solo se si comincia a soffrire veramente del peso della croce. Ne ho avuta l’ultima convinzione fin dal primo istante e dal profondo del cuore ho detto: ave crux, spes unica.”
Muore, insieme alla sorella, il 9 agosto dello stesso anno in una camera a gas.
Tra le sue opere ricordiamo:
“Essere infinito ed essere eterno. Per un’elevazione al senso dell’essere” (1936)
“Vita di santa Teresa d’Avila” (1934)
“Vita di santa Teresa Margherita Redi” (1934)
Ci è sembrato opportuno analizzare la figura ed il pensiero di Edith Stein a partire da dialoghi tratti dal film “La settima stanza”, riguardanti la scelta di Edith e la situazione sociale della sua epoca.
Nel primo estratto troviamo i problemi con la famiglia relativi alla decisione della Stein di dedicare la sua vita al Signore.
Auguste: sei ancora giovane. Hai il mondo davanti a te.
Edith: sei tu che mi hai insegnato ad essere buona e giusta. Come cristiana la mia anima appartiene a Dio, a Gesù. Ma come ebrea il mio sangue appartiene al mio popolo.
Auguste: ho il cuore oppresso dal dolore. Mi domando se sei mia figlia.
Edith: sono tua figlia. Sono esattamente come te.
Auguste: Edith, la mano forte di un uomo ti è sempre mancata. Tuo padre…
Edith: si, mi è mancato. Ma ora è diverso, ora la mia anima è promessa.
Auguste: non ritornare più a casa, Edith. Lasciami morire.
Edith: non mi vuoi più vedere?
Auguste: no.
Questo colloquio con la madre ha luogo quando Edith le comunica la sua volontà di diventare suora. Nonostante la “crudele” reazione di Auguste, motivata dal forte legame con le proprie origini, la filosofa non rinuncia ai suoi progetti, anche perché, dopo essere stata accusata di aver abbandonato il suo popolo, essa aveva bisogno di risposte e di verità. Inizialmente le cerca nella fede ebraica e nelle cose materiali, ma poi, non soddisfatta di ciò che ha trovato, si avvicina a Dio, per la mancanza del quale ella era incompleta. Decide quindi di donare la sua vita a Lui. La sua filosofia da questo momento cambia leggermente e tende ad aprirsi alla teologia. Nell’opera “Essere infinito e essere eterno” leggiamo, però, che Edith Stein non vuole fare teologia, ma una filosofia da questa integrata. Il suo compito, perciò, è quello di spingere gli uomini alla fede, perché la nostra ragione non potrà mai farci giungere alla totale scoperta della verità e solo in Dio la nostra “sete di sapere” potrà sentirsi appagata. Da questa conclusione cominceranno poi i suoi studi sul misticismo, che vediamo compiuti nell’opera “Kreuzeswissenschaft. Studie über Johannes a Cruce”. (La scienza della croce. Studio su san Giovanni dalla Croce.)
Gli altri due estratti riguardano il conflitto con il Nazismo di Hitler, visto attraverso l’ormai difficilissimo rapporto tra la Stein e il suo compagno di studi, Franz Heller, ora diventato gerarca nazista.
I due si trovano in una stanza le cui finestre sembrano quelle di una prigione. Nella stanza c’è un’arpa ed entrambi ne rimangono molto affascinati:
Heller: un suono pieno di fascino, vero? E’ stato il sogno di tutta la mia vita imparare a suonare l’arpa. E’ tanto che non ci vediamo, Edith. Leggo i suoi scritti sempre con enorme interesse.
Edith: lei al contrario ha preferito abbandonare la scienza per servire il potere.
Heller: ho dovuto, oggi è necessario agire, non filosofare. D’altronde, quando eravamo all’università, avevo l’impressione che invece di vivere la vita, gustandola in ogni suo aspetto, facessimo solo della filosofia, nient’altro che filosofia.
Edith e Heller s’incontrano nuovamente “sulla via del destino finale”:
Heller: ecco! Finalmente è chiaro! Mi arrovellavo, non riuscivo a capire come potessi andare alla morte così serenamente. Adesso invece l’ho capito. Ma certo, quale maggior gloria per una donna così assetata di fama imperitura che diventare santa?
[…]
Edith: … Ho fatto del male a così tante persone in vita mia, senza volerlo. A mia madre, alle mie sorelle, anche a te, e per questo io devo chiedervi perdono. Chiedo il perdono di tutti.
Heller: no, cosa…
[…]
Edith: credi che io non mi sia mai domandata se veramente la mia scelta di condividere la passione di Cristo fosse una scelta sincera? O se avessi rinunciato al mondo per orgoglio, piuttosto che ammettere i miei dubbi? Se non fosse stata la paura di nascondere fino in fondo il mio cuore? Non lo so proprio. Non sono capace di rispondere.
Heller: Edith, Edith, il tuo cuore è oscuro, che cosa credevi mai di poterci trovare?
Edith: non lo so proprio. O forse si, perché “se il recipiente non è pronto, non lo si può riempire”. Lo abbiamo imparato in filosofia, ti ricordi?
Heller: … perché non hai cercato un luogo sicuro?
Edith: ti sbagli, l’ho cercato tanto, e l’ho trovato.
Heller: non riesco a capirti.
Edith: ci siamo fatti del male l’un l’altro, Franz. Ci siamo combattuti come dei nemici per tutta la vita per arrivare a che cosa? Sarei stata una buona madre?
Heller: tu non saprai mai perché sono venuto qui.
Edith: Salva la tua anima, Franz. C’è sempre un’uscita di sicurezza.
In questi due dialoghi Edith Stein ha due atteggiamenti completamente diversi nei confronti di Heller. Nel primo lo accusa, come spesso fa nel film, di “aver abbandonato la scienza per servire il potere”. Ella disapprova, infatti, l’adesione di Heller al partito nazista e non perde occasione per farglielo notare. Heller, però, si è allontanato molto dalla filosofia e non può capire le accuse della donna. Nel secondo dialogo, invece, la Stein si rende conto di aver spesso ferito involontariamente le persone a cui più teneva e invoca il perdono di tutti loro. Ad un certo punto ella pare chiedere a se stessa il vero motivo della sua scelta religiosa, ma non sa più darsi una risposta. Heller è quasi soddisfatto di queste incertezze della Stein, che in passato si era dimostrata molto sicura di sé, anche quando si era trattato di rifiutarlo come marito. All’ultimo momento ella “ricorda”, però, la sua fede e incita l’amico a cercare una salvezza per la sua anima, sottintendendo il disprezzo per il suo essere nazista. Attraverso il film è facile capire che la filosofa ha sempre avuto una personalità forte e ribelle pur essendo una persona d’indole buona e devota.
Capitolo 6
…anche alcuni uomini letterati si sono resi partecipi della condizione femminile, descrivendo, nelle loro opere, la propria immedesimazione in personaggi femminili e nel loro mondo.
Gli esempi che seguono, relativamente agli scrittori inglesi Daniel Defoe e Samuel Richardson, confermano quanto sopra enunciato.
6.1 DANIEL DEFOE
Daniel De Foe was born in London in 1660, he was the son of a middle class dissenter. Dissenters were also called non-conformists, which meant they refused the doctrine of the Church of England.
Consequently Defoe could not go to famous universities such as Cambridge or Oxford. He attended a dissenting Academy, and he studied modern languages, sciences, history and divinity. At the beginning he wanted to become a dissenting preacher, but then in 1683, he became a merchant and travelled through Europe.
It was during this period that he found out his interest in politic. In 1688 he supported William of Orange, the Protestant husband of Mary II, when the catholic king James II, Mary’s father, was removed during a bloodless revolution, because of his religion.
Defoe was inspired by this situation and he wrote a witty ironical poem, “The true born English man”, which became very popular.
One year later he published a prose pamphlet “The shortest way with the Dissenters” where he satirised the Anglican attitude towards the non-conformists, but the dissenters and the Church of England found it offensive.
After that, Defoe was arrested, fined and sentenced. Throughout his life he also worked as a journalist for a periodical “The Review”, in which he wrote nvabout politics, trade, religion and manners. In 1719, when he was fifty-eight, he wrote novels again and published “Robinson Crusoe”, “The life”, “Moll Flanders”.
All his works were written for the middle-class, which he belonged to.
Finally he died in 1713.
MOLL FLANDERS
SUMMARY
First of all he real name wasn’t Moll but Betty. She was born in Newgate prison and she had never known her mother. She thought, when she was a child, she was adopted by a group of gypsies for a short period. But she escaped and she was entrusted to a wet-nurse. Unfortunately she died some years later and Betty went to live with a rich family, the Calchester. Here she fell in love with the eldest brother, but the younger loved her too. She had a short relation with the eldest, but at the end the family compelled her to marry Robin, the second one. When he died, she decided to move to another area, where she met her second husband, who was very strange, because, to satisfy her, he got into a lot of debts. So he decided to flee, leaving Betty alone. She went away and she changed her surname in Flanders. She became the friend of a captain’s wife, because Betty had helped them to get married. The captain introduced her to a gentleman, a friend of his, letting him believe she was very rich. When, after their marriage, she told him she wasn’t so rich, he decided to go to live with his mother in Virginia. Betty liked this woman very much and, in listening to her when she spoke about her life she discovered that her husband’s mother was even her mother. So she determined to come back to England and she went to London, where she met a man, and became his friend and lover. When he fell ill, he took an excuse to let her alone.
They stayed together for six years and they had three sons, but only the eldest lived. She left him to a family, because she was afraid for him. She went to live with a friend of hers, and she left all her money in a bank, where she met a man: he was married, but as his wife was a prostitute, he wanted to divorce. However Betty left for Lancashire and she stayed there for a month and a half. She married an Irish man and she went to see all his properties in Dublin. But he wasn’t rich: he had married Betty thinking she was very rich; someone had deceived him. So her husband, full of debts, left her. She came back to London and she married the banker. When the banker died, Betty was in a horrible situation: she wasn’t very young and she was poor.
One evening, while she was walking around, she saw a packet in a spice’ shop. She took it and she escaped. Then she began to steal. In doing this job, she soon became rather rich. But she didn’t stop. All her partners were taken and sent to prison, but she kept on stealing for a long time, before they imprisoned her. In that period she changed her name too: Mary, Molly, but finally Moll, Moll Flanders. In prison she had time to consider all her life and to repent of it. In Newgate she met her fourth husband, the Irishman, and she was surprised to see him in prison. But he was a bandit. Finally, with the help of a friend of hers and of a priest, they could avoid the death sentence and they were deported to Virginia, where they lived together. Here Moll met her brother, who had gone blind and her son: she became his friend, beside being his mother. She died repented and happy.
MOLL AND THE SOCIETY
The rise of the middle class after Reformation changed the structure of English society and in particular the structure of the family. Marriages, where property was concerned, were still arranged, but children could increasingly express their opinion. Puritanism had underlined the importance of individual conscience. Therefore the tendency was to have a marriage based on mutual affection. During the 17th century, however, it wasn’t easy to find a husband and girls who didn’t marry didn’t have many choices. For a middle class girl it was impossible to go out to work without losing her gentility (a gentlewoman didn’t work with her own hands) and consequently the possibility of marrying somebody of her own social class.
Therefore the only alternative to a marriage for girls of the upper class was lonely spinsterhood. If a lower middle class girl could not find a husband, she would probably work as domestic servant (something that Moll refused to do) or she could slip into prostitution. This social condition is the foundation of Moll’s way of thinking.
We can see the connection between Moll and society in various aspects: first of all at the beginning of her life, when she is refused by everybody, also by her mother and she’s adopted by a group of gypsies. Then through all her marriages, which weren’t accepted by puritan society. And then also her professions, a prostitute first and then a thief, which are both refused by society.
Defoe supports the idea of the intellectual equality of sexes in a society where a woman is considered inferior because too emotional. Like all the poets in his time, he reduces the emotional reactions of his character and stresses her rationality, but, at the same time, his patriarchal society makes it necessary for her to be emotionally dependent on a man.
Defoe’s society doesn’t take into consideration moral qualities, but only money. People are assessed by how much money they possess and women are only objects.
Moll is fed up of being an object and this is why she rebelled against society through her behaviour.
MOLL’S FAMILY
It is very difficult to explain what the word family means for Moll. She never had a true family and for this reason she never knew the real meaning of love too. She has always been alone. When she was a child some women took care of her; when she grew up, she had to survive alone, but she wasn’t in the condition of doing it because a woman, who lived alone wasn’t considered in that society. She was in despair, but at the same time strong and brave. She married five men only to escape from extreme poverty and not to form a family. For a woman like Moll life is a war and love is a defeat. In fact there was a period in Moll’s life in which she had a happy time because she lived with a good man, and she tried to form a family. But all of her happiness ended when she understood that he couldn’t be her husband because he was her brother. Moll had a lot of children but she didn’t care of them and she left them alone in the same way her mother had left her. One of the most important themes of this book is the approach of Moll with family: Moll met many men and formed many families, but we can observe that in her life there were no real families and all the people who lived with her were only objects for her and viceversa. Family was the centre of Moll’s life, but at the same time it didn’t exist because it was only an appearance.
MOLL IN LOVE
Love in Moll’s life didn’t mean a lot. She had a lot of men, she married many times, but she never fell completely in love. After marrying the youngest brother of the Calchester family, she promised herself not to believe in love again because she had been deceived. Every time she got married, her only thought was of money, and, in general, of what that marriage was about to bring in her life. Her relationship with love can be easily compared to the one with society. Marriage is referred to as a deal. She understood very soon that after marriage a woman is completely in the power of her husband, but she didn’t want to become an object. She didn’t want to be too emotional, so she decided never to listen to her hearth and her feelings and put all her interest in money. She’s not a negative and superficial character because her behaviour is not due to her fault. Nobody taught her what love means and above all nobody loved her. After her first husband’s death, she married another man and she based her decision only on appearance. But she mistook, in fact this man, who looked like a gentleman, made her lose all her money. In the relationships that followed, she repressed all her emotions. In the end, we think that it’s quite impossible to speak about love in Moll’s life, because it has been repressed together with all other feelings.
6.2 SAMUEL RICHARDSON
Samuel Richardson was born in Derbyshire in 1689, but when he was young, he went to live in London. After having studied, he began to work as a printer’s clerk. He became a novelist and he studied human emotions, so his characters have a sentimental way of thinking. He was also familiar with female psychology. He published the novel “Pamela or virtue rewarded”. The book was a success and the most important thing in it is suspence. Certainly Pamela is invaluable as a social document. In this book we can find a lot of social mores of Richardson’s time. His masterpiece is “Clarissa Harlowe”, published in 1748. It is the longest novel in the English language. Human psychology is well explained and the reader can identify himself in the characters.
CLARISSA
SUMMARY
Clarissa Harlowe is a girl who had to leave her family with Richard Lovelace to avoid a marriage. Infact her cruel father wanted her to marry a man, Solmes, whom Clarissa regretted. She left home after an ultimatum she had been given by her father. When she was young, her feelings had never been taken into consideration. Only her mother loved her, but she couldn’t do anything to help her. She tried in every way to make her father understand her feelings, but everything was useless. She never stopped trusting in her mother, but she had to understand that she had only one possibility to avoid the marriage: to flee. So she left her family and put herself under the protection of another man, Richard. She was almost in love with him and she trusted in him, but he was unscrupulous and he never meant to marry her. He began to love her only when she ended loathing him, but it was too late. Clarissa died of grief and Richard died in a duel against Clarissa’s cousin.
This book is composed of many letters, written by Clarissa to her friend, Miss Howe and by Lovelace to John Belford.
Richardson underlines the cruelty of Clarissa’s father and the hostility of her brother because, otherwise, she would have been immoral in leaving home and putting herself under Lovelace’s protection. Richardson wants her to look like a pure virtuous girl, which is inevitable in a society which is so different from ours of more permissive sexual morality.
CLARISSA AND SOCIETY
In Richardson’s age, when a new middle class was emerging, men of humble social origins were reaching prosperity through endeavours, by becoming competent tradesmen, professional men, even skilled artisans. But women, however, denied entrance to the world of commerce and industry, could achieve a parallel rise in social status only by marriage. All this gave a new importance to marriage as one of the great bulwarks of the middle class, which then, in its turn, imposed on all society its concepts of sexual morality and of the importance of the family.
But Clarissa refused all this. Infact she wanted to avoid the marriage planned for her by her father to a man obnoxious to her, Lovelace. So she felt it necessary to leave home and put herself under Lovelace’s protection. She wanted to escape from the severity of her father, the hostility of her brother and sister. However also Lovelace is a tyrannical husband and she must be submitted to him as well.
CLARISSA’S FAMILY
Clarissa Harlowe had the typical good honest family of her time. She had a father, a mother, a brother and a sister. We can imagine she was happy and she had all the love she needed, but this isn’t the truth. She was different from her brothers and she couldn’t accept to bear what the others - especially her father - decided for her. In fact in her family there was only a person who could decide everything: the leader, it’s to say her father. He chose her husband and after his decision nobody could change the events. Clarissa hated her future husband and for this reason she left her home to go away with another man, who brought her to death. Clarissa’s decision was extreme because she loved her family, but at the same time she was conscious of her and her mother’s weakness in comparison to her father.
CLARISSA IN LOVE
In her life she never met love. When she left home she didn’t love Lovelace, but she needed his help. As time went by, she felt in love. Richard was never kind to her and he always tried to make the most of her. Anyway she never stopped loving him and we can easily understand how this great love brought her to death. She became almost mad and some time later she died. In the last period of her life, Richard finally understood her feelings and started loving her, but it was too late. Clarissa was a fragile woman and she was completely understood only after her death, because her man had destroyed all her love, even though she had put all her trust in him.
Capitolo 7
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